La légende
L’histoire raconte que Molly aurait été au 17ème siècle, la plus jolie jeune fille de Dublin. Comme ses parents, marchands ambulants, elle vendait des coques et des moules. Il semblerait qu’elle monnayait ses charmes à la tombée de la nuit. Elle mourut jeune, à l’âge de 36 ans, d’une forte fièvre. Depuis, on croiserait son fantôme, par les nuits brumeuses, poussant une charrette dans les rues de la ville.
L’hymme de Dublin
Appelée également Cockles and Mussels, la chanson est devenue l’hymne officieux de la capitale. Elle est reprise en chœur par les foules de supporters d’équipes de sport.
La chanson
Couplet
In Dublin’s fair city,
where the girls are so pretty,
I first set my eyes on sweet Molly Malone,
As she wheeled her wheel-barrow,
Through streets broad and narrow,
Crying, « Cockles and mussels, alive alive oh! »
Refrain
Alive-a-live-oh, Alive-a-live-oh,
Crying « Cockles and mussels,
alive alive oh »
Couplet
She was a fishmonger,
And sure ’twas no wonder,
For so were her father and mother before,
And they both wheeled their barrow,
Through streets broad and narrow,
Crying, « Cockles and mussels, alive, alive oh! »
Refrain
Alive-a-live-oh, Alive-a-live-oh,
Crying « Cockles and mussels, alive alive oh »
Couplet
She died of a fever,
And no one could save her,
And that was the end of my sweet Molly Malone.
Now her ghost wheels her barrow,
Through streets broad and narrow,
Crying, « Cockles and mussels, alive, alive oh! »
Refrain
Alive‐a‐live‐oh, Alive‐a‐live‐oh,
Crying « Cockles and mussels, alive alive oh »
Aujourd’hui
La chanson interprétée par de nombreux groupes de musiciens dont les Dubliners, résonne tous les jours, dans les rues et pubs de Dublin comme dans tout le pays. Chez nous, le chanteur Renaud l’a adaptée à la langue française.